vendredi 23 janvier 2009

La route de Modesto




Julien MAGRE

Carla quitte Modesto en Mustang, un bébé sur la banquette arrière.
Elle zone sur les routes de l’Amérique, élimine les emmerdeurs
et avance vers un but inconnu. A ses trousses, un homme se présentant
comme son époux roule sur ses traces. Road movie cruel et dépressif,
La route de Modesto est accompagné de photos signées Julien Magre
qui dessinent en couleurs l’ambiance frelatée des motels et des bleds
perdus pour le monde humain.
48 pages, Format: 17 x 19,5, Biro éditeur, nouvelle: marc villard.

jeudi 22 janvier 2009

7 photographes au Pays Basque - 7 argazkilari Euskal Herrian


Gabrielle DUPLANTIER

7 photographes au Pays Basque - 7 argazkilari Euskal Herrian

Date :
du 21 novembre au 31 janvier

Paisajes Intimos - Paysages Intimes


Gabrielle DUPLANTIER

“Paysages Intimes” est une exposition itinérante qui voyagera en Espagne entre juin 2008 et juin 2009. Elle est née de la conjugaison de deux expressions artistiques, la photographie et la poésie. Les paysages intimes dont il est question sont ceux de la terre natale des deux artistes: Le Pays basque.

Dates :
Fnac Bilbao du 5 janvier au 30 janvier
Alliance Française de Vigo du 4 février au 28 février
Alliance Française d'Oviedo du 01 Avril au 30 Avril
Alliance Française de Sama De Langero du 01 Juin au 30 juin

mercredi 7 janvier 2009

Paris sous la Pluie




Christophe JACROT

septembre 2008

"Paris sous la pluie" est le fruit d'une démarche artistique libre, ouverte aux incertitudes et aux surprises. Le climat vient y jouer le rôle d'un trouble-fête dans l'imagerie classique de la capitale. A l'instar des univers de reflets qui habitent ses photographies, dont les dimensions merveilleuses laissent toujours voir l'envers réel d'un pied ou d'un autre détail trivial, le projet lui même semble né d'un mirage ou d'une boutade. C'est en effet suite à une commande d'images de Paris sous le soleil pour un guide touristique, et devant un temps désespérément mauvais, qu'est venue à l'auteur cette idée de traiter Paris sous la pluie! A la faveur de ce regard, nous découvrons une ville plus humaine et plus décalée que l'image flamboyante que nous avons l'habitude de voir. A travers 90 photographies en couleurs toutes légendées par un mot d'esprit du photographe, l'auteur nous offre ainsi à découvrir cette couleur poétique, aigre-douce, parfois mélancolique, ou souvent décalée et ironique, qui enveloppe le passage sensuel des figurants. Le regard qu'il nous propose est celui qui manque au citadin, pressé par le temps ou chassé par la pluie: celui de l'émerveillement...

Dans la neige




Photographies de Grégory VALTON

Texte de Sandrine BAILLY
Illustration de Benoît BONNEMAISON

Avec Dans la neige, Grégory Valton retourne sur les terres pyréennes de sa mère disparue il y a
dix ans. Comme pour ses précédents travaux dans les Balkans et sur les pas de Robert Desnos
autour du camp de Terezin en République tchèque, il s'agit pour lui de recueillir des traces de ce qui a été. C'est au coeur du paysage que Grégory Valton fait résonner son sujet. Ici il récolte, au gré des errances de son regard, les indices sensibles de l'absence.

“À regarder les photographies de Gregory Valton, on ne sait si l'on se trouve à la tombée du jour ou au petit matin, dans le mystère du commencement ou dans celui de la fin. (…) Ainsi la photographie fait-elle écho à la perte, à ce qui est laissé derrière soi, ce dont il faut "se déprendre" : un visage entrevu, un paysage hivernal, l'empreinte d'un corps sur un lit. Nulle tristesse pourtant ne perce de ces lieux désertés, ces maisons serrées contre les montagnes ou dans les terres, ces arbres dénudés, courbés sous les rafales, ces murs fissurés d'où pointe la solitude. Juste la beauté subtile, la lumière voilée de ce qui ne se laisse aisément saisir. (…) Quelque chose se resserre alors: l'image devient abstraite, l'œil s'approche au plus près des choses, comme s'il voulait tou cher la matière tantôt opaque tantôt transparente du monde, saisir le tremblement de l'instant pré sent, retenir un reflet, une trace de ce qui a été. Percer un mystère qui n'a pas dit son nom.”

Sandrine Bailly.

Ce n'est qu'un début....



Ernesto TIMOR
vous invite à Passer l'Hiver ?